Charles Villiers Stanford Partsongs, Pastorals and Folksongs The Sixteen Harry Christophers

Charles Villiers Stanford (1852-1924)

Partsongs, Pastorals and Folksongs

Six Irish Folksongs, Op. 78  

1. Oh! breathe not his name  

2. What the bee is to the flow’ret 

3. At the mid hour of night 

4. The sword of Erin  

5. It is not the tear 

6. Oh, the sight entrancing  

Eight Partsongs, Op. 127  

7. Plighted  *   

8. Veneta   

9. When Mary thro’ the garden went 

10. The Haven     

11. The Guest *    

12. Larghetto *   

13. Wilderspin *   

14. To a tree *      

Six Elizabethan Pastorals (Set I), Op. 49 

15. To his flocks  

16. Diaphenia   

17. Damon’s passion * 

18. Sweet love for me  

19. Corydon, arise! 

20. Phoebe * 

Nine Irish Folksongs 

21. ’Twas pretty to be in Ballinderry *  

22. Come, rest in this bosom *  

23. Silence is inn oiur festal halls * 

24. Wreathe the bowl *  

25. When she answered me * 

26. She is far from the land *  

27. St Mary’s Bells * 

28. Awake, awake, Fianna * 

29. Molly Hewson *  

Bonus Track

30. Emer’s farewell to Cucullain (Londonderry Air) * 

The Sixteen

Harry Christophers

Célébration du 100ème anniversaire de la mort de Charles Villiers Stanford avec cet enregistrement comprennant 17 inédits

Stanford est célébré à l’échelle nationale et internationale comme un compositeur d’une grande diversité. Il composa nombre d’œuvres de concert, dont sept symphonies, mais il est surtout connu pour ses œuvres chorales. 

L’écriture pour les voix est exquise et sa narration imaginative  est toujours présente dans ses chansons folkloriques irlandaises où il capture  tout, de la vengeance ardente à l’amour passionné avec une égale efficacité. 

Le dévouement de Stanford à la poésie de Marie 

Elizabeth Coleridge se démarque également — il a été attiré par  le lyrisme de son écriture et l’imagerie qu’elle évoque... quelque chose qui est clairement entendu dans ses arrangements de l’opus 127.  Une grande partie de sa poésie est marquée par un sentiment de perte et de changement, si merveilleusement dépeint dans The Guest avec son  récit troublant

* Premières mondiales