Robert Schumann Sehnsucht Ensemble Plhymnia Christophe Sturzenegger Franck Marcon
Ländliches Lied, opus 29, n° 1
Lied, opus 29, n° 2
Nänie, opus 11 4 n° 1
Triolett, opus 11 4 n° 2
Spruch, opus 11 4 n° 3
Klavierstücke, opu
Romanzen, opus 69
Humoresque, opus 20 (extrait)
Romanzen, opus 91
Ensemble Polhymnia
Christophe Sturzenegger, piano
Franck Marcon, direction
Sehnsucht, cette fertile nostalgie opposée aux ravages de la sombre mélancolie est définie par Robert Schumann pour son ami Wihelm Götte, le 2 octobre 1828 :« En tout être humain flotte un désir immense, quelque chose d’innombrable, d’infini , qu’aucune lèvre ne peut exprimer, désir qui s’éveille chez les natures épiques quand elles se trouvent devant des ruines ou des pyramides ( …), chez les natures lyriques (j’en suis une), quand s’ouvre devant elles le monde harmonieux des sons, lorsque le soir tombe, ou qu’éclate l’orage, ou que se lève le soleil.»
Ce sentiment imprègne toute la musique de Schumann.
Cet enregistrement invite à une promenade nostalgique dans le monde du Lied de Schumann pour chœur de femmes.