Alexandre Ouzounoff Oeuvres de musique de chambre

CD 1 - NATURAL

Vézelay pour 2 Bassons* (2016)

Nuages de feu pour Alto et Basson (2021)

Nairobi, la nuit pour Basson et Percussion (1999)

Amok pour Basson et Piano (2013)

Pixaçao pour Basson et Percussion (2018)

Fleur de l’Aube pour Basson et Piano (rév. 2020)

Cependant, la lune se lève pour Basson et Vibraphone (2013)

Jeffrey Lyman, Basson

Caroline Coade, Alto - Liz Ames, Piano

Ian Antonio, Percussion - Daniel Fendrick*, Basson

CD 2 - AQUATIC

Diamant - Silex pour Cor et Piano (2013)

Nautilus pour 4 Cors (2023)

Venise la rouge pour Violon, Cor et Piano (2023, éditions Klarthe)

La Seine pour Cor (2020)

Le vent d’orages lointain pour Cor et Percussion (2018)

Maelström pour Cor (2017)

Nuages d’eau pour Saxophone Soprano et Vibraphone (2023)

Les fontaines de Séoul pour Basson (2023)

Victor Ouzounoff, Cor

Su-Anne Lee, Violon - Guillaume Sigier, Piano

Arthur Béchet, Percussion - Nicolas Prost, Saxophone - Victor Dutot, Basson

Avec ce double album, le compositeur et ancien bassoniste Alexandre Ouzounoff explore avec finesse les dimensions singulières et universelles d’un monde "outdoor" qui nourrit et enrichit son quotidien en parallèle de son activité de créateur.

 Le CD1, intitulé "Natural", fait écho à son passé de bassoniste. Il représente un retour naturel aux sources, marqué par la collaboration avec le bassoniste américain Jeffrey Lyman, interprète de plusieurs de ses œuvres. Ce lien intime avec son ancien instrument constitue un hommage vibrant à ses racines musicales.

Le  CD2 , "Aquatic", plonge dans l’univers marin, origine de toute chose. Ici, Victor Ouzounoff, fils du compositeur, interprète au Cor des sonorités terriennes qui s’entrelacent avec des timbres imprévisibles, évoquant des territoires encore inexplorés.

Alexandre Ouzounoff compose un monde sonore articulé mais déroutant, où chaque note semble imprégnée des échos du passé, tout en se déployant dans une quête d’inconnu. C’est une musique qui emplit l’espace jusqu’à ce que le silence en prenne le relais,  laissant s'infiltrer les consignes du passé.