Medtner, Brahms, Florian Noack, piano

    15,90 € 15,90 € 15.9 EUR

    13,25 €

    Cette combinaison n'existe pas.

    Ajouter au panier


    Conditions générales
    Expédition sous deux à trois jours ouvrés


    Interprète inspiré de la musique russe, de Rachmaninov à Scriabine, en passant par Medtner ou Liapounov, Florian Noack nous invite ici à une immersion au cœur de deux grands polyphonistes de l’ère romantique tardive. La science poétique de Nikolai Medtner ou de Johannes Brahms, aussi bien que la densité de leur écriture, trouvent leur origine dans une recherche de polyphonies aux mille ramifications, témoignant en ce sens de leur amour commun pour les grands maîtres du passé, tels Bach et Beethoven.

    LE PROGRAMME

    Nikolai Medtner (1880-1951)
    2 Contes (Skazki), Op. 8
    2 Contes (Skazki), Op. 20
    2 Contes (Skazki), Op. 48
    Sonata Tragica, en ut mineur, Op. 39 No. 5
    (extraite des « Mélodies oubliées, Partie II »)

    Johannes Brahms (1833-1897)
    8 Klavierstücke, Op. 76

    CE QU’EN DIT LA PRESSE

    « Magnifique voyage intérieur (…) Palette sonore sombre, fuligineuse : l’interprète sait traduire l’expression ténébreuse, pessimiste de quatre pages qui mènent aux Klavierstücke de Brahms. Un ouvrage dont Noack cultive avec tact la mélancolie amère et solitaire, avant de retrouver Medtner et une Sonata tragica dont la densité et le caractère souvent lapidaire font merveille sous ses doigts. »
    (Alain Cochard, Concertclassic, Février 2016)

    « Sous les doigts de Noack, le premier est splendide (…). La gestion des basses – flottantes, une belle idée – de la Campanella crée une atmosphère de terreur qui laisse pantois. On applaudit la réalisation des moins fréquentés Opus 8 et 48. Ils décollent littéralement. Noack conduit enfin excellemment la Sonate tragique (…) Pour Medtner, un disque extrêmement recommandable. »
    (Bertrand Boissard, Diapason, Juin 2016)

    « … ce jeu tellement intense et pourtant fusant vous saisira. Sublime, l’Elfenmärchen de l’Op. 48 referme l’album. Medtner le demande « Con molto flessibile », de doigts certes, mais surtout d’esprit, un Dionysos aux pieds ailés, une merveille. »
    (Jean-Charles Hoffelé, Discophilia, 11 mars 2016)