Dalla biblioteca di Vivaldi ? Schreyvegel, Heinichen, Pachelbel, Vincent Bernhardt
Conditions générales
Expédition sous deux à trois jours ouvrés
5 sonates tirées du manuscrit Mus.1-R-70 de Sächsische Landesbibliothek - Staats - und Universitätsbibliothek Dresden
JOHANN FRIEDRICH SCHREYVOGEL (1707-1749)
Sonate pour violon et continuo en Ré mineur
Anonymous
Sonate pour violon et continuo en Ré M
Sonate pour violon et continuo en Fa M
JOHANN DAVID HEINICHEN (1683-1729)
Sonate pour violon et continuo en Ré M HauH 3.2
JOHANN PACHELBEL (1653-1706)
Prélude P. 410 pour orgue*
Anonyme (Antonio Vivaldi?)
Sonate pour violon et continuo en Sol m.
Une sonate anonyme tirée du manuscript Mus.2-R-8,52 tirée de la Sächsische Landesbibliothek – Staats - und Universitätsbibliothek Dresden
Sonate pour violon et continuo en Ré M
Vincent Bernhardt, claveci net orgue
Sue-Ying Koang, violon
Diana Vinagre, violoncelle
Parsival Castro, theorbe & guitare
Vincent Bernhardt exhume un manuscrit inédit, copié
à la hâte par un élève de Vivaldi. Des sonates exubérantes qui nous plongent
dans l’univers rutilant de l’Italie du début du XVIIIe siècle.
La survie de ce manuscrit est donc en soi une chance. Pour autant, il s'agit d'une source dont l'usage se révèle particulièrement difficile : copié à la hâte, ce recueil rassemble des oeuvres pour l'essentiel incomplètes et comprend de nombreuses imperfections et erreurs.
La démarche du présent enregistrement est, quant à elle, de proposer des corrections aux éléments les plus singuliers du texte musical en nous basant sur le langage harmonique et mélodique usuel de cette époque. Une simple lecture du manuscrit révèle en effet une rédaction effectuée dans une grande hâte, sans corrections ni relecture, et dans un souci d'économie de papier. Étant donné le manque de soin et le caractère confus de leur notation, on peut supposer que ces sonates ne faisaient pas partie du fond de la Hofkapelle mais plutôt de la bibliothèque personnelle de Pisendel.
La graphie témoigne, elle aussi, d'un manifeste manque de temps du copiste : ainsi par exemple les doubles-croches des deuxièmes mouvements de la seconde et des cinquièmes sonates, qui n'ont été ligaturées qu'à de rares exceptions. Cela témoigne d'un « tempo » d'écriture particulièrement élevé qui n'est pas sans rappeler les caractéristiques graphiques de la main d'Antonio Vivaldi, dont la graphie souvent hâtive et peu soignée reflète la rapidité de production.
Détails
Informations sur l'article
GTIN13
0650414736561
Format
CD DIGIPACK
Référence
CAL2192
Label
CALLIOPE