Héritage Aisha Syed Catro, violon

West Side Story: America / Somewhere / I Feel Pretty (L. Bernstein)

Una Primavera para el Mundo (R. Solano)

Oblivion (A. Piazzolla)

Gayaneh: Danse d’Aisha (A. Khachaturian)

Por una Cabeza (C. Gardel; arr. J. Williams)

Suite pour violon et piano (W.G. Still)

Danse espagnole no. 5 (E. Granados; arr. F. Kreisler)

Scheherazade: Danse Orientale (N. Rimksy-Korsakov; arr. F. Kreisler)

España, Op. 165 – No. 2: Tango (I. Albeníz; arr. F. Kreisler)

Deep River, Op. 59 No. 10 (S. Coleridge-Taylor)

Aisha’s Prayer (trad.; arr. M. Labazevitch)

Aisha Syed Catro, violon

Martin Labazevitch, piano

La violoniste dominicaine Aisha Syed Castro (née en 1989), égaérie de la marque LEXUS, pourrait bien être la musicienne la plus remarquablement douée de sa génération. Elle est encensée comme « virtuose » par la presse des trois continents où elle s’est, à ce jour, produite. Aisha est également l’Ambassadrice à titre bénévole de son pays, la République dominicaine, auprès d’oeuvres caritatives dont le but est d’apporter la culture aux plus défavorisés.

Dans son nouvel album, Aisha a réuni un programme pièces qui ont une signification toute particulière pour  elle.  Celle du compositeur dominician Rafael Solano et un traditionnel qui porte son nom, celle de  ses racines sud-américaines dans le fameux Oblivion de Piazzola mais également dans l’esthétique d’un Leonard Bernstein pour  « West Side Story », et dans son implication pour défendre la musique de compositeurs noirs (Samuel Coleridge-Taylor et William Grant Still) , sans oublier ces petits chefs-d’œuvre espagnols de Granados et Albeníz. A croire également dans l’interprétation qu’Ashia en fait que Khachaturian lui a dédié « La danse d’Ashia » tirée de Gayaneh.