Duo Continuum, A petits pas

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    1/ Ambre  (Jean-Marc Larché) 2’15

    2/ L’Envol (Yves Rousseau) 4’43

    3/ Pavane (Jean-Marc Larché d’après

    Alfonso Ferrabosco) 4’32

    4/ Les Ouches  (Jean-Marc Larché) 3’20

    5/ Hundertwasser (Yves Rousseau) 5’04

     6/ Wie soll ich Dich empfangen ?(d’après Bach) 3’43

    7/ Interlude (Jean-Marc Larché) 2’28

    8/ Aria (d’après J.S. Bach, Variations Goldberg) 3’07

    9/ Don Juan aux enfers (Yves Rousseau) 2’34

    10/ Solitude (Yves Rousseau) 2’29

    11/ La Vie du Milieu (Jean-Marc Larché) 4’26

    12/ Miro (Yves Rousseau) 3’19

    13/ Stances galantes (Yves Rousseau) 2’34

    14/ A petits pas (Yves Rousseau) 3’44

    15/ Uyuni (Yves Rousseau) 2’06

    Jean-Marc Larché, saxophone

    Yves Rousseau, contrebasse


    Continuum est l’aboutissement d’une rencontre évidente : le saxophone de Jean-Marc Larché et la contrebasse d’Yves Rousseau. La musique, très écrite et sonnant parfois comme une improvisation inspirée, s’origine d’une complicité chaleureuse et engagée, d’une fraternité, s’exprimant dans une même respiration. Les deux instruments condensent et alternent toutes les fonctions mélodiques et rythmiques par des vibrations, des résonances qui se nouent, se fondent ou s’éloignent, mais créent une indiscutable dynamique.

     

    On perçoit, dans des contrepoints sensibles, des progressions ensoleillées, la même chaleur, la même rondeur de son, le même velouté, ainsi que des timbres qui se métamorphosent pour offrir une palette surprenante. L’émotion surgit d’une écoute réciproque active, aigüe, où la virtuosité se place toujours au service de l’élan poétique. Outre les influences jazz, classiques, qui débordent largement les cadres conventionnels, on découvre des pièces très différentes, contrastées, inspirées d’horizons géographiques variés, de traditions musicales n’excluant ni le folklore de peuples solitaires et oubliés, ni l’écriture contemporaine.

     

    Le résultat musical, à la fois minimaliste et intimiste, est empreint d’un lyrisme nostalgique, extrême, parfois douloureux. Cet équilibre émouvant de funambules stimule l’imaginaire et crée chez l’auditeur un très fort sentiment d’accomplissement, de sérénité et d’évidence.