René Bottlang, Ralf Altrieth / Numbers

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    René Bottlang, piano et compositions

    Ralf Altrieth, saxophones

    La flamme reste vive chez René Bottlang et, loin de s'éteindre, illumine ses dernières productions. Sensibilité à fleur de peau pour « Bueno Aires » son récent solo argentin et, ici, complicité fusionnelle avec Ralf Altrieth son partenaire saxophoniste, musicien que l'on a grand plaisir à découvrir.

       Les belles mélodies qu'ils égrènent ensemble, compositions du pianiste, ont toutes la richesse d'une trompeuse simplicité. Harmoniquement riches, elles rutilent de mille feux et emprisonnent l'auditeur dans les méandres de sa sensibilité la plus intime.

       Car ces balades et rêveries musicales de deux promeneurs solidaires suscitent l'irrésistible envie de les accompagner dans leur flânerie complice. Cette faculté rare d'éveiller l'émotion la plus naturelle, la plus intemporelle aussi, est source d'un émerveillement permanent qui, entre autres vertus, a celle de nous entrainer bien loin des sombres tracasseries du temps présent.

       Comme une utopie lucide, une mise à distance de tout ce qui est laid pour ne conserver que le bénéfice d'une échappée belle.

       Si piano et saxophone n'en sont pas à leur première rencontre, l'art du compagnonnage musical de nos deux raconteurs d'histoires est ici développé avec un tel bonheur et une telle générosité que l'on ne peut que s'y laisser prendre.
      
    En cela « Numbers » signe une bien belle réussite.

    - Jean-Paul Ricard

     

     

    « Savez-vous compter jusqu’à 20 avec 18 morceaux ? C’est la quadrature de la musique, c’est toute la subtilité de René Bottlang flanqué de son alter ego Ralph Altrieth aux saxes. Il faut dire que le rosé de Provence a brouillé les nombres, mais pas l’inspiration de nos deux pèlerins du jazz.
    C’est une connexion lumineuse et puissante entre les compositions et les improvisations, tellement bien construites et interprétées qu’on entre au septième ciel  avec ce mariage d’entrelacs et d’envolées, et qu’on y reste, jusqu’à la fin. Alors remettre le disque au début, et tout recommence : pour le bonheur de l’âme
    . » - Serge Baudot